Die Krise der FDP hat sich durch das Debakel bei der Sachsen-Wahl noch einmal verschärft: Mit 3,8 Prozent laut vorläufigem Endergebnis fliegen die Liberalen aus dem Landtag – und der Landesregierung. Das letzte Bundesland mit FDP-Regierungsbeteiligung ist damit verloren. Die Parteispitze hatte die Wahl in Sachsen vorsorglich schon mal als unbedeutend abgetan. So sagte FDP-Chef Christian Lindner am Freitag der „Bild“-Zeitung: „Um das Schicksal der FDP geht es im Herbst 2017. Dann müssen wir wieder fit sein.“

HANDELSBLATT

Im deutschen Bundesland Sachsen ist die schwarz-gelbe Regierung abgewählt worden. Die Eurokritiker triumphieren.

BASLER ZEITUNG

In Deutschland, wo man Draghi und der Rettungspolitik lange Zeit kritisch gegenüberstand, hat man sich einstweilen arrangiert - auch wenn die hiesigen Steuerzahler alles in allem mit dreistelligen Milliardenbeträgen für die Südländer haften. Als das Bundesverfassungsgericht im Frühjahr den Krisenfonds ESM absegnete, war das jedenfalls kein Aufreger mehr. Die Frage, ob auch das "Whatever it takes"-Programm der EZB rechtmäßig ist, hat Karlsruhe derweil an den Europäischen Gerichtshof verwiesen. Die deutschen Verfassungsrichter ließen dabei jedoch durchblicken, dass sie selbst erhebliche Zweifel daran hegen.

TAGESSCHAU

La suppression de 18.000 emplois annoncée jeudi par l'américain Microsoft dans le monde entier, dont 12.500 chez Nokia, est un coup dur pour la Finlande, siège historique de l'ancien numéro un mondial des téléphones, acquis officiellement en avril par le géant du logiciel.

LA TRIBUNE

„Die Bankenunion ist nach der gemeinsamen Währung der zweite große Akt der Integration. Manchmal führen wir philosophische Diskussionen über europäischen Föderalismus. Hier praktizieren wir ihn“, sagte Frankreichs Finanzminister Sapin. Als Problem sieht Sapin die mangelnde Regulierung der Schattenbanken. „Die größere Sicherheit im Bankensektor darf nicht zur Verlagerung der Unsicherheit ins shadow banking führen.“

HANDELSBLATT

Qu’a fait l’Allemagne mieux que les autres ? Schäuble : Nous avons aussi connu des périodes où nous n’allions pas si bien. Nous sommes bien sortis de la crise et avons dû dépenser beaucoup moins d’argent pour le chômage. Autrement dit, nous avons aussi eu un peu de chance. Et puis nous avons réussi quelque chose qui est maintenant décisif en France : Nous avons regagné la confiance. Quand on traverse une crise de confiance, ce n’est pas très simple de s’en sortir. Le principal en matière d’économie, c’est la psychologie. Avec ses baisses de charges et d’impôts, le Pacte de responsabilité est le bon chemin et il crée une nouvelle confiance. Le climat devient meilleur en France et quand le climat est meilleur, les investissements et la demande privée augmentent.

LES ECHOS

Le Parlement européen vote le 16 juillet afin de donner son opinion sur la decision d’autoriser la Lituanie à adopter l’euro l’année prochaine. En juin, la Commission européenne a déclaré que le pays remplit les « critères de Maastricht » pour adopter la monnaie unique. La décision finale sera prise par le Conseil fin juillet. Apprenez-en plus sur la procédure d'évaluation de la capacité des pays à rejoindre la zone euro (qui compte actuellement 18 États membres)...

PARLEMENT EUROPEEN

Alors que Peugeot publiera le 17 juillet ses ventes mondiales puis le 30 juillet ses résultats du premier semestre, les analystes se montrent d’ors et déjà optimistes et relèvent leurs prévisions. En effet, le constructeur automobile a confirmé lundi les objectifs de son plan stratégique « Back in the race » et affiche des performances en avance sur les estimations.

LES ECHOS

The Canadian credit rating agency DBRS upgraded Greece’s long-term credit rating to “B” from “CCC,” while also upgrading the country’s rating outlook to “stable” from “negative”. According to a DBRS announcement, the upgrade comes as a result of Greece no longer being considered to be in danger of exiting the euro zone, as well as the expectation of a forthcoming new round of Greek debt restructuring.

GREEK REPORTER

For over a month, debate in Europe has been dominated by Italian Prime Minister Matteo Renzi’s campaign for greater “flexibility” in the application of the euro zone’s fiscal rules—code for allowing countries to run bigger deficits. Mr. Draghi’s speech was a thinly veiled rebuke to Mr. Renzi. The stability of the euro zone depends on enforcing the existing fiscal rules—“not on having more flexibility,” he said. “To unwind the consolidation that has been achieved, and in doing so, divest the rules of credibility, would be self-defeating for all countries.”

WSJ