Österreichs Parteien lassen sich den EU-Wahlkampf einiges kosten. ÖVP, SPÖ, FPÖ, Grüne und NEOS haben Millionenbudgets für die Wahlwerbung veranschlagt, allerdings deutlich weniger als bei der Nationalratswahl 2013. Einen Gutteil bekommen die Parteien vom Steuerzahler ersetzt, es werden 12,8 Mio. Euro - zwei Euro pro Wahlberechtigtem - verteilt.

Mehr lesen: ORF

Auf eine gemeinsame "funktionierende" europäische Außen- und Sicherheitspolitik hat Neos-Spitzenkandidatin Angelika Mlinar in der ORF-"Pressestunde" am Sonntag gedrängt. Sie tritt für ein EU-Verteidigungsheer ein, was letztlich zur Abschaffung des Bundesheers führen würde. In der Ukraine-Krise kann sie sich schärfere Sanktionen vorstellen.

Mehr lesen: Die Presse

Unter Federführung der USA und der EU begannen insgesamt 50 Länder den neuerlichen Verhandlungsprozess. Unter diesen „wirklich guten Freunden von Dienstleistungen“, wie sie sich selbst nennen, sind 23 WTO-Mitglieder darunter Australien, Chile, Kanada, die Schweiz, Japan und die EU. Diese repräsentieren mehr als zwei Drittel des globalen Handels mit Dienstleistungen. Offenbar ist den USA dieses Abkommen auch von der Reihenfolge her wichtiger als das TTIP, wie aus einem Schreiben der EU-Kommission hervorgeht. Die aktuelle Verhandlungsrunde startete vergangenen Montag in Genf. Kritiker schlagen Alarm, befürchten sie doch, dass TISA über das umstrittene bisherige GATS-Abkommen noch weit hinausgeht.

Mehr lesen: ORF

Bei der NSA-Reform von US-Präsident Obama stehen die Provider im Mittelpunkt: Anstatt des US-Geheimdienstes sollen sie Metadaten speichern - und auf Verlangen an die NSA weitergeben. Eine Immunitätsklausel soll die Firmen vor möglichen Klagen schützen.

Mehr lesen: Tagesschau

En 2009, quand la planète sombrait dans les affres de la crise financière, tout le monde autour de la table du G20 était d’accord : il fallait remettre de l’ordre dans la finance, supprimer le secret bancaire et s’entendre pour casser l’évasion fiscale. Cinq ans plus tard, l’organisation Oxfam fait le bilan de ces beaux projets dans une note publiée vendredi [PDF]. Son constat : la réforme qui est en discussion ne semble pas perturber pas le sommeil des dirigeants des entreprises championnes de l’évasion fiscale.

A lire sur: RUE 89

le traité de libre-échange en cours de négociation entre l'Union européenne et les Etats-Unis. En dehors de quelques journaux, cette négociation n'intéresse guère les journalistes. Or, ce traité peut devenir une véritable bombe : l'une de ses clauses pourrait autoriser les entreprises multinationales à poursuivre un Etat si celui-ci fait passer une loi qui nuit aux intérêts de l'entreprise. Par exemple, une entreprise qui aurait investi en France et qui s'estimerait pénalisée par la revalorisation du Smic pourrait obliger l'Etat français à lui verser des milliards de dédommagement. Ce serait une sorte de révocation du traité de Westphalie (1648) qui régit l'Etat-nation occidental. Il est urgent que ce sujet émerge dans le débat public français : les négociations sont loin d'avoir abouti ; tout est encore possible.

A lire sur: Marianne

Les Etats se sont trompés dans leur appréciation sur les agrocarburants, et c'est quelque chose de très difficile à reconnaître pour leurs dirigeants. Ils n'ont pas anticipé les trois grands impacts des politiques de soutien, menées notamment par les Etats-Unis et l'Union européenne : la connexion des prix alimentaires avec ceux de l'énergie, ce qui a entraîné une plus grande volatilité ; une spéculation très forte sur les matières premières agricoles ; et une pression considérable sur les terres dans les pays en voie de développement.

A lire sur: Le Monde

Hier erfahren wir noch weniger. Aber immerhin »leakt« die Seite der australischen Regierung: »There negotiations will cover financial services; ICT services (including telecommunications and e-commerce); professional services; maritime transport services; air transport services, competitive delivery services; energy services; temporary entry of business persons; government procurement; and new rules on domestic regulation to ensure regulatory settings do not operate as a barrier to trade in services.«

Mehr lesen: Piraten Partei

Apart from the substantial non-negotiability of the bailout, for the moment it seems rather difficult to convince the average voter that six new parliamentarians for the Republic of Cyprus will be able to influence the decisions of a Parliament composed of 751 representatives. Regarding the Turkish-Cypriot voters, the scant participation forecast for the upcoming elections derives from other considerations.

Read more: Osservatorio Balcani e Caucaso

Erasmus+ would contribute to improving the quality of education and training at all levels, and fund new cross-border projects to tackle poor reading skills, for example. Foreign language skills were falling behind, added Vassiliou, particularly in countries like Britain, and the new programme would support initiatives to boost them. It would also support better use and modernisation of ICT for students and teachers.

Read more: University World News