"Il y a une lutte évidente au niveau international pour pouvoir capter les énormes contrats qu'il va y avoir lorsque l'embargo iranien sera levé", souligne M. Delannoy, rappelant que Barack Obama s'était déjà offusqué de la visite du Medef en Iran en février. "Affaiblir l'une des banques les mieux placées pour financer les projets en Iran après la levée de l'embargo américain, c'est le meilleur moyen de démontrer l'hégémonie américaine (et de se) réserver la part belle lors de la levée de l'embargo"...
LE PETIT JOURNAL
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