Le recours au vote secret pour cette institution qui fait preuve de beaucoup de transparence est donc l’exception. Elle s’explique par la crainte de pressions qui auraient pu être exercées sur les députés européens dont la légitimité était au départ plutôt faible. La mesure, qui s’appliquera également le 16 juillet lors du vote pour le président de la Commission européenne, semble désormais obsolète. Elle est de surcroit risquée.
EURACTIV
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