« En 2010, quand la Commission Barroso I a quitté le pouvoir, six des treize commissaires partants ont soulevé un tollé de protestations lorsqu'ils sont allés presque immédiatement rejoindre le secteur privé ou les rangs des lobbyistes (lobby jobs), générant un risque d'éventuels conflits d'intérêts. Le scandale fut si grand que 52 000 personnes signèrent une pétition destinée au président de la Commission José Manuel Barroso, et les règles éthiques s'appliquant aux membres de la Commission furent ensuite été renforcées, tout en laissant subsister d'importantes lacunes...
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