L’an dernier, le gouvernement s’est pris de plein fouet la réalité : les hausses d’impôts ne se sont pas traduites par des rentrées fiscales à la hauteur de ses espérances. Bien sûr, la révision à la baisse de la croissance, qui n’a été que de 0,2 % environ, explique une partie de cette déception. La Cour des comptes estime son impact à 8 milliards d’euros l’an passé. Mais la moindre activité économique qu’a connue la France en 2013 n’explique pas tout. En fait, quand la richesse nationale augmente de 1 %, les rentrées fiscales peuvent progresser moins vite. C’est ce qui s’est passé l’an dernier...
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