En deux mois, Stavros Theodorakis, 50 ans, a fait du "Potami" ("rivière" ou "fleuve"), le troisième parti en termes d'intentions de vote aux élections européennes : entre 8 et 14%, derrière Syriza (gauche radicale) et Nouvelle Démocratie (droite), le parti du Premier ministre Antonis Samaras. Et il a l'ambition de faire élire au moins trois eurodéputés. "J'ai créé le Potami parce qu'en tant que citoyen je me sentais asphyxié", raconte à l'AFP M. Theodorakis, qui présentait il y a encore quelques semaines un magazine d'investigation sur la chaîne privée Mega.
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