L’Italie s’apprête à prendre en compte ces activités illicites, qui pourraient gonfler le PIB du pays de plus de 10 %. De quoi justifier une contribution plus élevée au budget européen, mais le pays dirigé par Matteo Renzi y verrait aussi un avantage : un tel changement permettra à l’Italie, très endetté, de réduire le ratio de dette nette sur PIB, suivi à la loupe par Bruxelles.
LES ECHOS
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