Le ton est monté d’un cran entre les deux principaux candidats aux élections européennes ce week-end. Interrogé sur la façon dont il fallait gérer la question de la dette de la France, Martin Schulz avait déclaré sur BFM TV le 4 avril qu’il serait prêt à ouvrir des négociations, si cela s’avérait nécessaire. Une parole qui a fait bondir le candidat de la droite, Jean-Claude Juncker, samedi 5 avril. L’ex-premier ministre luxembourgeois en meeting à Berlin a de son côté indiqué qu’il en était hors de question.
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