Les parlementaires se sont étonnés qu'après le scandale du Libor il y a deux ans, les responsables de la Banque d'Angleterre, régulateur du secteur financier, ne se soient pas inquiétés de possibilités de truquage d'autres marchés, comme celui des devises, de l'or, du pétrole ou des swaps. «Nous n'avons pas d'information suggérant que quelqu'un à la Banque d'Angleterre ait fermé les yeux, facilité ou participé à des manipulations de marchés», a insisté Mark Carney.
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