Malgré les pressions américaines, le Premier ministre irakien, Nouri Al Maliki, a balayé, hier, l’idée de former un gouvernement d’union nationale d’urgence pour faire face à l’offensive fulgurante des djihadistes de l’EIIL. Rien n’indique donc une sortie de crise politique à Bagdad, puisque les profondes divergences qui minent le pays depuis des années empêchent la formation d’un nouveau gouvernement depuis les législatives d’avril.
LES ECHOS
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