Londres reste avec New York, Hong Kong et Singapour dans le quatuor des grands carrefours d'une finance mondiale qui se déplace vers l'Asie. Et, bien sûr, comme ne manquent pas de le signaler des représentants de la capitale britannique, quelques points d'écart entre deux places ne permettent pas d'affirmer avec une objectivité sans faille la prééminence de l'une sur l'autre. Il n'en reste pas moins qu'une série de déconvenues et d'incertitudes ont conduit le consultant Z/Yen et les 3.246 responsables financiers qu'il a interrogés pour avoir leur appréciation subjective du paysage actuel à retirer à la City le leadership qu'elle détenait depuis le premier GFCI, calculé en 2007.
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches
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