« C'est une césure dans l'histoire des relations germano-américaines », soulignait le quotidien munichois de centre gauche, Süddeutsche Zeitung (SZ), y voyant « un acte sans précédent de protestation contre l'arrogance américaine ». « [L'ancien chancelier] Gerhard Schröder avait franchi un premier pas vers l'autonomie vis-à-vis du grand allié, il y a douze ans, en disant non à la guerre en Irak. Maintenant, il s'agit d'une deuxième étape », analyse le SZ, la jugeant d'ailleurs bien « tardive ».
LE MONDE
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